GH and IGF-I binding sites in adipose tissue, liver, skeletal muscle and ovaries of feed-restricted gilts

Isabelle Louveau; Hélène Quesnel; Armelle Prunier

doi:doi:10.1051/rnd:2000138

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Volume 40 / No 6 (November-December 2000)

Reprod. Nutr. Dev., 40 6 (2000) 571-578

Abstract

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Issue		Reprod. Nutr. Dev. Volume 40, Number 6, November-December 2000


Page(s)		571 - 578
DOI		https://doi.org/10.1051/rnd:2000138

DOI: 10.1051/rnd:2000138

Reprod. Nutr. Dev. 40 (2000) 571-578

GH and IGF-I binding sites in adipose tissue, liver, skeletal muscle and ovaries of feed-restricted gilts

Isabelle Louveau - Hélène Quesnel - Armelle Prunier

Unité Mixte de Recherches sur le Veau et le Porc, Institut National de la Recherche Agronomique, 35590 Saint-Gilles, France

(Received 4 April 2000; accepted 23 November 2000)

Abstract:

The influence of feed restriction on GH and IGF-I binding was examined in the cyclic gilt. IGF-I, IGFBPs, insulin and leptin levels in plasma were also measured. Twenty-four gilts whose oestrous cycle was synchronised were used. From day 3 to day 12, (with day 0 being the first day of oestrus) feed allowance was 240% and 80% of the energy requirements for maintenance for well-fed (H) and restricted gilts (L) respectively. Six gilts in each group were treated with an antagonist of GnRH but the treatment had no effect on any reported measurements. Blood and tissue samples were collected on days 12 and 13 respectively. L gilts lost live weight whereas H gilts gained weight. Plasma IGF-I, insulin and leptin concentrations were lower in L than in H gilts whereas plasma IGFBP levels were not affected by feed restriction. The specific binding of ¹²⁵I-bGH to adipose tissue, liver, skeletal muscle and ovary membranes did not differ significantly between H and L gilts. Specific binding of ¹²⁵I-IGF-I to hepatic membranes was higher in L than in H gilts whereas it did not differ between the two groups in the other tissue membranes.

Keywords: gilt / food restriction / GH / IGF-I / binding

Résumé:

Liaison de la GH et de l'IGF-I dans le tissu adipeux, le foie, le muscle squelettique et l'ovaire de la truie cyclique rationnée. L'objectif de cette étude est de déterminer l'influence du statut nutritionnel sur les sites de liaison de la GH et de l'IGF-I chez la truie cyclique. Les niveaux plasmatiques d'IGF-I, d'IGFBPs, d'insuline et de leptine sont aussi mesurés. Du 3 $^{\rm e}$ au 12 $^{\rm e}$ jour du cycle $\oe$ stral (J0 = début de l' $\oe$ strus), 24 truies reçoivent deux niveaux alimentaires correspondant à 240 (H) ou 80 % (L) de leurs besoins énergétiques d'entretien. Six truies de chaque groupe sont traitées avec un antagoniste de GnRH mais ce traitement n'a aucun effet sur les mesures réalisées. Des prélèvements de sang sont réalisés à J12 et les tissus sont prélevés à J13. Les truies L ont perdu du poids alors que les truies H ont pris du poids. Les concentrations plasmatiques d'IGF-I, d'insuline et de leptine sont plus faibles chez les truies L que chez les truies H. Par contre, le rationnement alimentaire ne modifie pas les niveaux plasmatiques d'IGFBPs. Dans le foie, le muscle squelettique, l'ovaire et le tissu adipeux, la liaison spécifique de $^{\rm 125}$ I-bGH ne diffère pas significativement entre les deux lots. La liaison spécifique de ¹²⁵I-IGF-I est plus élevée dans le foie des truies L que dans celui des truies H mais ne diffère pas entre les deux lots dans les autres tissus.

Mots clé : truie / rationnement alimentaire / GH / IGF-I / liaison

Correspondence and reprints: Isabelle Louveau
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