DOI: 10.1051/rnd:2001109

Reprod. Nutr. Dev. 41 (2001) 27-39

In primiparous sows, plasma insulin-like growth factor-I can be affected by lactational feed intake and dietary energy source and is associated with luteinizing hormone

Henry van den Brand^a, Armelle Prunier^b, Nicoline M. Soede^a and Bas Kemp<sup>a

a</sup>  Adaptation Physiology Group, Wageningen Institute of Animal Sciences, Wageningen University, PO Box 338, 6700 AH, Wageningen, The Netherlands
^b  Unité Mixte de Recherches sur le Veau et le Porc, INRA, 35590 Saint-Gilles, France

(Received 11 August 2000; accepted 8 January 2001)

Abstract
During a 21-day lactation period, 48 primiparous sows were fed a fat- or a starch-rich diet (131 g fat and 183 g starch + sugarkg^-1 vs. 31 g fat and 351 g starch + sugarkg^-1) at a high or a low level of feeding (44 vs. 33 MJ net energy per day) according to a factorial design. Blood samples were collected at days 7, 14, 21, 22 (weaning), 24, 25, 26, and 27 post-partum (p.p.). IGF-I levels were higher with the starch-rich than with the fat-rich diet at days 7, 21, 22, and 24 p.p. Plasma IGF-I concentrations on day 22 p.p. were positively related with LH pulse frequency on day 22 p.p. and the height of the pre-ovulatory LH surge. Sows with low body weight at farrowing and high lactational body weight loss had lower plasma IGF-I concentrations than others, before and after weaning. These results indicate that IGF-I concentrations are affected by both feeding level and dietary energy source and are related to the secretion of LH. Furthermore, body weight at farrowing interacts with lactational body weight loss to affect IGF-I concentrations.

Résumé
Chez les truies primipares, l'IGF-I plasmatique peut être influencé par le niveau alimentaire de lactation et la source d'énergie, et est associé à la sécrétion de LH. Pendant 21 jours de lactation, 48 truies primipares reçoivent un aliment enrichi en graisse ou en amidon (131 g graisse et 183 g amidon + sucrekg^-1 versus 31 g graisse et 351 g amidon + sucrekg^-1) sous deux niveaux énergétiques (44 versus 33 MJ énergie nette par jour) selon un schéma factoriel. Des prises de sang ont lieu à 7, 14, 21, 22 (sevrage), 24, 25, 26, et 27 jours post-partum (p.p.). Les concentrations plasmatiques d'IGF-I mesurées de 21 à 26 jours p.p. augmentent avec le niveau d'énergie ingérée. Par ailleurs, elles sont plus élevées chez les truies recevant le régime enrichi en amidon aux jours 7, 21, 22 et 24 p.p. Les concentrations d'IGF-I mesurées à 22 jours p.p. sont corrélées positivement avec la pulsatilité de LH au jour 22 et avec l'amplitude du pic préovulatoire de LH. Les truies les plus légères à la mise bas et qui ont perdu le plus de poids en lactation ont des concentrations d' IGF-I plus faibles que les autres. Ces résultats montrent que les concentrations plasmatiques d'IGF-I sont influencées par la source d'énergie et par le niveau énergétique et qu'elles sont liées à la sécrétion de LH. De plus, le poids vif à la mise bas et la perte de poids en lactation interagissent pour moduler les concentrations d'IGF-I.

Key words: IGF-I / sow / lactation / LH / energy

Mots clés : IGF-I / truie / lactation / LH / énergie

Correspondence and reprints: Henry van den Brand
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